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La maison de L'ACCUEIL abrite un patrimoine méconnu

La maison de L'ACCUEIL abrite un patrimoine méconnu : 7 fresques à découvrir

Esther thème des peintures de Daniel SARRABAT.

Le livre d'Esther tiré de l'ancien testament comme celui de Judith raconte l'histoire d'un complot déjoué par une jeune femme juive.

Les juifs établis en Perse sont menacés d'extermination par la haine d'un vizir omnipotent, Aman. Ils sont sauvés grâce à l'intervention d'Esther, une jeune compatriote devenu reine sous la tutelle de Mardochée, son cousin..

 

Esther fille du peuple choisi par le roi pour sa beauté et couronnée reine

Esther fille du peuple choisi par le roi pour sa beauté et couronnée reine

Elle fut avertie par Mardochée son tuteur, qu'Aman conseiller du roi veut supprimer les juifs.
 




Esther chez le roi pour l'inviter à un festin afin de déjouer le complot
Esther chez le roi pour l'inviter à un festin afin de déjouer le complot


Déconvenue d'Aman - Le roi récompense Mardochée
Déconvenue d'Aman - Le roi récompense Mardochée

Aman appelé par le roi, le conseille pour honorer un bienfaiteur, pensant qu'il s'agissait de lui-même, alors que cet hommage était destiné à Mardochée, d'où sa déconvenue.
 



Mardochée sur un cheval blanc acclamé par la foule Aman humilié tient les brides du cheval
Mardochée sur un cheval blanc acclamé par la foule Aman humilié tient les brides du cheval

Banquet chez Esther où le Roi bouleversé apprend les intentions d'Aman

Banquet chez Esther où le Roi bouleversé apprend les intentions d'Aman

 

 


Aman condamné et conduit au supplice
Aman condamné et conduit au supplice

 

Pour visiter la salle qui abrite ces fresques ou retirer une plaquette, s'adresser en mairie.

Le peintre, son œuvre

Daniel SARRABAT, né à Paris épouse une Lyonnaise, reste à Lyon et acquiert une grande notoriété.

Il décore plusieurs demeures de notables lyonnais, et peint de nombreux tableaux de chevalet dans des églises et chapelles de Lyon.

Peintes vers 1710, les 7 fresques furent sauvées in extremis en 1957/58, classées puis restaurées, elles se détériorèrent jusqu'à ce que la municipalité, devenue propriétaire en 1994 les restaure.